des coups de cœur venus de Landrecies

Quelques coups de cœur trouvés dans la boîte à l’église de Landrecies

 

 

 

Un coup de cœur pour tous celles et ceux, très nombreux, qui s’engagent avec sincérité et dévouement, dans les mouvements ou associations, au service des plus pauvres.

 

Quel plaisir d’assister à une messe où l’on rencontre des « grands jeunes » qui prient, chantent : cela donne un coup de fouet à notre foi. Merci.

 

J’ai eu une bonne note en anglais ; merci, Seigneur, car j’ai eu toujours de mauvaises notes en cette matière.

 

Merci pour l’amour d’un être cher qui prend soin de moi.

 

La mort de mon petit enfant m’a révélée l’existence de Dieu, mais un Dieu injustice et cruel… J’ai tellement souffert… Le partage de la Parole de Dieu m’a révélée un autre Dieu, un Dieu d’amour qui prend soin de mon enfant. Aujourd’hui, je suis capable de prier et de dire que je crois que mon enfant se trouve auprès de Dieu : un jour nous nous retrouverons. Mon Dieu, je te confie mon enfant, continue à prendre soin de lui et de ma famille.

 

Hier, après le KT mon garçon rentre à la maison en me disant : « maman, aujourd’hui tu sers d’abord mes petites sœurs, après on pourra manger ensemble ».

 

Coup de cœur pour une petite équipe de gens de Preux qui ont préparé une messe-partage chez une dame paralysée et incapable du moindre mouvement.

 

Le centre des restaurants du Cœur de Landrecies vient en aide à 175 familles dont la majeure partie est landrecienne. Ceux qui y travaillent le font bénévolement et leur plus belle récompense est un sourire ou un merci. Si beaucoup de bénéficiaires trouvent naturelle l’aide reçue, pensent fermement que c’est un droit, il arrive que quelques-uns, reconnaissants, adressent, en fin de saison, un courrier à la responsable pour exprimer leur gratitude pour l’accueil, l’écoute et l’aide accordée. Ce fut le cas le 14 mars. Ces témoignages de reconnaissance, parce qu’ils sont rares, sont de vrais encouragements à poursuivre la mission.

 

Coup de chapeau à un généraliste qui a accepté de recevoir et d’aider une jeune mère de famille, récemment opérée, qui souffrait et avait besoin des services d’un médecin, un week-end, alors qu’elle n’est même pas sa patiente. Elle s’était heurtée au refus de son généraliste habituel.

 

Article publié par catherine priester • Publié le Mardi 27 mars 2012 • 3344 visites

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