Pévèle Scarpe : des coups durs

trouvés dans une des églises du doyenné de Pévèle Scarpe

 

  • Dans les situations parfois difficiles à vivre, l'aide vient d'une confiance renouvelée au Seigneur (qui ne permet pas une épreuve au-delà de nos forces) et de la prière.

  • On s'aperçoit après coup que le Seigneur a tiré un plus grand bien de ce qui paraissait un mal ou une difficulté.

  • Il y a 25 ans, j'ai été victime d'une maladie dont le nom à l'époque faisait peur : le cancer.

  • J'en suis sorti grâce bien sûr à l'entourage familial mais aussi par mon engagement dans ma paroisse qui m'a permis de ne pas rester concentré sur moi-même et de rendre service aux autres mais aussi à moi-même.

  • Maladie d'un proche.

  • Nous vivons des difficultés dans notre couple. La seule chose qui nous aide, c'est la prière. Le manque d'aide dans la famille et les amis est très difficile.

  • Précarité-solidarité : divers jeunes membres de la famille sont en difficulté en raison du chômage. Nous essayons de les aider selon nos moyens.

  • J'avais 26 ans. J'avais réussi un concours pour avoir un emploi. J'attendais ma nomination (appel à l'activité).
    Pendant ce temps, je soignais ma grand-mère âgée de 91 ans ; j'étais sa seule petite fille (elle n'habitait pas la même commune que moi)
    J'ai prié Dieu, avec insistance, pendant plusieurs mois pour que la date de l'appel à l'activité n'intervienne pas, alors que ma grand-mère, grabataire, avait absolument besoin de moi pour les derniers jours de sa vie.
    J'ai été nommée 15 jours après son décès. Je remercie Dieu, encore aujourd'hui, de m'avoir exaucée

  • Décès d'une personne très proche ; toute la famille a été très solidaire

  • Nouvelle activité bénévole pas facile ; mais quel accueil des malades !

  • La maladie est arrivée depuis de nombreuses années dans mon foyer, il a fallu que nous nous accrochions pour pouvoir surmonter cela, sans aide.

Article publié par catherine priester • Publié le Mardi 15 mai 2012 • 3354 visites

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