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Je suis émerveillée de l'action l'Esprit Saint, dans le monde actuel, malgré le matérialisme qui semble envahir de plus en plus.
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En cette année du cinquantenaire de Vatican II, je rends grâce de plus en plus car Dieu n'abandonne jamais son Eglise. La liturgie est devenue plus vivante et parle vraiment au cœur. Dieu se révèle de plus en plus comme un Père aimant et miséricordieux.
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L'Eucharistie est plus proche et un peu mieux comprise ainsi que les autres sacrements. Les messes sont plus fraternelles.
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Une jeune fille, qui a été baptisée bébé, et qui n'a pas reçu d'éducation religieuse. Elle a rencontré un jeune homme catholique pratiquant, a assisté avec lui à des célébrations, et a décidé de suivre un parcours d'initiation et de découverte avec l'aide de sa future belle-famille. Elle a ainsi fait sa première communion, s'est mariée religieusement et elle a voulu poursuivre pour recevoir le sacrement de confirmation. Je n'oublierai jamais les larmes qui ont coulé de ses yeux lorsqu'elle a reçu des mains de l'Évêque le Saint Esprit.
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Une femme, bien qu'ayant du travail, survit dans une presque précarité. Elle n'hésite pourtant pas à recueillir chez elle une jeune femme enceinte que ses parents ont mise à la porte à l'annonce de sa grossesse. (La petite fille a aujourd'hui 8 mois et une mamie d'adoption).
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J'ai rendu visite à une personne seule isolée et qui a été opérée et a été en convalescence pendant 6 mois. Elle me disait qu'elle n'avait plus envie de se battre contre la maladie, mais grâce à un médecin qui s'est occupé d'elle, qui l'a prise en charge, elle a repris espoir et ça a été mieux. Elle est parti en convalescence dans une maison de repos et là elle était avec une personne gentille avec qui elle parlait et qui lui rappelait sa mère.