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J’étais déprimé, mon camarade de cellule m’a beaucoup soutenu et m’a libéré de mes « idées noires ».
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En arrivant quelques « anciens » m’ont aidé à m’intégrer.
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J’ai aidé des camarades illettrés à rédiger du courrier
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Les célébrations, les rencontres à l’aumônerie m’aident à faire la vérité en moi, et à partager mes souffrances. Malgré mes fautes, je sais que Dieu m’aime. A moi de répondre à son amour.
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Depuis quelques semaines, un visiteur vient me rencontrer. Cela fait du bien de parler avec lui
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Après un an d’incarcération, je viens enfin de voir mes enfants au parloir. J’en ai pleuré toute la soirée de joie.
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Un camarade détenu musulman a lancé une collecte pour les familles des enfants juifs assassinés à Montpellier. Tous les détenus qui le pouvaient ont donné.
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Suite à un décès dans ma famille, les copains de l’aile m’ont entouré
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J’étais parti au tribunal. Un voisin m’a gardé mon repas jusqu’à mon retour dans l’après midi.
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Grace à une équipe de bénévoles, j’ai découvert que j’étais capable d’écrire des poèmes, de monter un spectacle, de faire des émissions de radio.
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Une association est venue plusieurs fois pour préparer ma sortie. C’est rassurant pour moi.
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Malgré mon incarcération pour plusieurs années, mon patron vient me voir régulièrement et me promet de me reprendre à la sortie.
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Mon codétenu m’aide chaque soir à lire quelques chapitres d’Evangile. Il m’explique et peu à peu je redécouvre la foi.